THE SNAKE

Dans un soir de délire, les fantasmes et leurs significations m’ont amené à l’écriture de ce morceau. Plus exactement, je me suis posé la question suivante : Les fantasmes sont-ils prisonniers de notre cerveau ou, à l’inverse, est-ce notre cerveau qui est prisonnier de nos fantasmes? Vous me direz que la plupart des gens ne se posent pas ce genre de questions et vous aurez tout à fait raison, mais il se trouve que je me la suis posée et que j’ai trouvé la réponse. Je la donne (en anglais) à la fin du morceau.

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