Mes démêlés avec Word !

Ecrire procure des sensations formidables.

Des mots, choisis par nous, arrivent par leur combinaison à traduire nos idées, nos pensées, nos émotions. Du moins, c’est ce que je pensais naïvement, avant d’écrire mon premier roman.

En tant que jeune auteur je me suis rapidement trouvé confronté à la maîtrise des règles de typographie, sésame indispensable si l’on souhaite se faire éditer. Je n’en citerai que deux, qui m’ont donné du fil à retordre et auxquelles je n’aurai pas pensé.

Commençons par le tiret cadratin : même le nom qu’il porte est méconnu du grand public, et pourtant. Il s’agit du fameux tiret qui vous permet de faire parler vos personnages. Il est donc, ô combien, important. Pour ma part, j’ai galéré, passant de tuto en tuto, essayant de trouver une âme charitable qui puisse me répondre en évoquant la bonne version de Word (celle que j’utilise tout simplement…). Dans mon cas, il fallait aller dans «insertion» puis «symboles» puis «autres symboles» pour finir par «caractères spéciaux», pour enfin, trouver  mon fameux petit tiret sans lequel mes personnages seraient restés muets !

J’en profite pour adresser un petit clin d’œil (même si cela n’a pas grand chose à voir avec l’écriture) à la formidable actrice de films muets que nous connaissons tous de vue : Mary Pickford.

Image par Eric Perlin de Pixabay

Autre exemple : la note de bas de page, vous savez ce petit chiffre au milieu d’une phrase qui vous indique que le mot que vous ne comprenez pas est expliqué ci-dessous… Quelle galère j’ai vécue pour trouver le bon tuto ; celui qui m’explique comment insérer et modifier cette fameuse note. Je vous fais grâce de l’explication mais, faîtes moi confiance, lorsque vous ne parlez pas la langue de la famille Word, vous vous sentez rapidement incompris et très seul!

Parce qu’au final, le lecteur, lui, ne sait pas ce que vous avez rencontré comme vicissitudes pour écrire un texte qui puisse être imprimé en l’état. 

Image par Alexas_Fotos de Pixabay

Je profite de ce petit article pour remercier tous ces anonymes, qui prennent le temps d’expliquer gratuitement aux autres, comment faire pour devenir un typographe parfaitement autonome. Merci pour vos explications ! Merci pour votre temps ! Merci pour votre bienveillance à notre égard !

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