Horace et Le Cid sont mes tragédies préférées, j’ai adoré étudier ces œuvres durant mes études. Les figures rythmiques des alexandrins chantent encore à mes oreilles.Je me récite souvent des tirades de Corneille pour le simple plaisir d’entendre chanter les mots. Lorsque j’écris des chansons, il m’arrive mécaniquement d’écrire en vers de douze syllabes… C’est grave docteur ?
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Sans parler de la fameuse anaphore dans Horace :
« Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! »